Vendredi 13 février, une délégation d'enseignants d'Education Physique et Sportive (EPS) et d'étudiants en Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives (STAPS) a été reçue au ministère. Celle-ci s'élevait contre la réduction de postes ouverts au concours en EPS.

Vendredi 13 février, une délégation d'enseignants d'Education Physique et Sportive (EPS) et d'étudiants en Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives (STAPS) a été reçue au ministère. Celle-ci s'élevait contre la réduction de postes ouverts au concours en EPS.

Les représentants du ministère ont rappelé à la délégation que le nombre de postes dépendait des départs en retraite mais aussi des évolutions du nombre d'élèves et des besoins des académies.

Or selon eux, "la situation des académies est globalement excédentaire et les besoins exprimés pour la rentrée 2004 correspondent à la moitié des personnels titulaires qui seront à affecter." L'embellie ne serait donc pas pour tout de suite, et même, selon le ministère, "le déséquilibre va s'accroître".

Une situation qui conduit à une déclaration sans appel : "Dans ces conditions, il était inévitable de réduire le nombre de postes ouverts au concours".

Les représentants du ministère ont qualifié d' "absurde" la rumeur selon laquelle l'enseignement de l'EPS en lycée et lycée professionnel pourrait devenir facultatif. "Il n'est pas question de réduire la place des enseignements d'EPS" ont-ils affirmé.

Ils ont annoncé la mise en place d'un groupe de travail pour étudier les débouchés offerts aux étudiants de STAPS. En effet, l'enseignement ne représenterait "qu'une toute petite partie" des débouchés des filières STAPS.

 

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