Publication d'une analyse du Centre d'études et de recherches sur les qualifications concernant " les "effets" de la formation initiale sur l'insertion".

Publication d'une analyse du Centre d'études et de recherches sur les qualifications concernant " les "effets" de la formation initiale sur l'insertion".

l'auteur confirme l'adéquation entre le niveau de formation et la qualité d'accès à l'emploi (temps de chômage, stabilité) mais ajuste la focale plus finement en détaillant les spécialités des formations, le caractère diplômant de ces dernières et la nature de l'emploi pourvu en fin de parcours.

Ainsi, selon l'auteur, " à tous les niveaux de formation, les écarts sont globalement plutôt forts entre les jeunes issus de spécialités tertiaires et ceux ayant suivi une spécialité industrielle". Ces derniers sont plus nombreux à être intérimaires mais accèdent plus souvent à un emploi stable par ce biais et cette différence"s'accroît avec le niveau de formation"

Au niveau Bac+2 ce sont les spécialités de la Santé et du Social qui remportent la mise avec un taux d'accès à l'emploi de 85% (génération 2001), un taux de chômage faible au bout de trois de vie active et très peu d'emplois précaires ou aidés.

D'une manière générale l'auteur avance la prédominance des formations spécialisées sur celles générales en terme d'accès au marché de l'emploi ou de la rémunération. Ceci n'empêchant les diplômés de spécialité industrielle de souffrir de la conjoncture ou du recours à l'intérim comme mode de gestion des resources humaines.

 

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